Selon Le Potentiel de ce week-end, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) serait d’accord pour l’accès au serveur central. En effet, la publication kinoise a rapporté les propos du vice-président de la CENI, Jacques Ndjoli, qui a laissé entendre au cours de l’émission « Dialogue entre congolais » de Radio Okapi que l’opposition comme toute la nation congolaise aura accès au fichier électoral. Cette déclaration est intervenue à la suite des « revendications » exprimées par l’Opposition lors de différentes marches organisées. L’Opposition politique accusant la CENI de gestion opaque du fichier électoral, M. Ndjoli a rappelé que la loi oblige la CENI de publier cette liste 30 jours avant le début de la campagne électorale.
Par la voie de son porte-parole, Gaspard-Hubert Lonsi Koko, le Rassemblement pour le Développement et la Paix au Congo (RDPC) insiste sur le fait que le fichier électoral définitif n’est toujours pas rendu public conformément au délai légal. Dans la même optique, le porte-parole du RDPC rappelle que les parlementaires, en ayant voté l'annexe à la loi électorale relative à la répartition des sièges pour les législatives avant le toilettage du fichier électoral, ont mis la charrue avant les bœufs.
En conséquence, cette loi illégale devra être abrogée, ou alors modifiée dès la publication du fichier électoral définitif – la répartition des sièges devant correspondre au nombre exact d’électeurs réellement inscrits. Cela évitera de s’adonner encore une fois à la supercherie ayant permis l’élection des sénateurs et des députés provinciaux, excepté pour les provinces du Bas-Congo et de Kinshasa, sur la base des 26 circonscriptions virtuelles.
Par la voie de son porte-parole, Gaspard-Hubert Lonsi Koko, le Rassemblement pour le Développement et la Paix au Congo (RDPC) insiste sur le fait que le fichier électoral définitif n’est toujours pas rendu public conformément au délai légal. Dans la même optique, le porte-parole du RDPC rappelle que les parlementaires, en ayant voté l'annexe à la loi électorale relative à la répartition des sièges pour les législatives avant le toilettage du fichier électoral, ont mis la charrue avant les bœufs.
En conséquence, cette loi illégale devra être abrogée, ou alors modifiée dès la publication du fichier électoral définitif – la répartition des sièges devant correspondre au nombre exact d’électeurs réellement inscrits. Cela évitera de s’adonner encore une fois à la supercherie ayant permis l’élection des sénateurs et des députés provinciaux, excepté pour les provinces du Bas-Congo et de Kinshasa, sur la base des 26 circonscriptions virtuelles.
La Direction du Rassemblement pour le Développement et la Paix au Congo
Fait à Kinshasa, le 4 septembre 2011
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